En 2007, Hugo Chavez poursuit sa politique de réformes politiques, économiques et sociales en faveur des classes défavorisées du pays. Trois millions d'hectares de terre (où la culture des OGM est strictement interdite) ont déjà été distribués aux paysans.
Plusieurs milliers d'écoles et de dispensaires médicaux gratuits ont été installés dans les quartiers et régions défavorisées, éradiquant l'analphabétisme et les maladies infectieuses. Des systèmes de microcrédits ont également été mis en place afin de faciliter le développement des petites entreprises n'ayant pas accès au crédit bancaire. La durée de travail hebdomadaire est passée de 44 heures à 36 heures et le salaire minimum est devenu le plus élevé des pays d'Amérique latine après le Costa Rica.
Afin de de financer ces programmes sociaux Hugo Chavez va nationaliser des pans entiers de l'économie (Banques, Télécoms, Electricité, Compagnies pétrolières, aciéries, firmes agro-alimentaires, etc.). L'opposition, par médias interposés, crie au casse-coup. Vous vous imaginez? Tout ces revenus qui échappent aux multinationales et à l'oligarchie locale.
Hugo Chavez prépare le socialisme du 21ème siècle qui est basé sur ce que l'homme a de de plus noble en lui: la solidarité et le partage. Alors que le capitalisme, lui est fondé sur ce qu'il a de plus vil: l'égoïsme et le profit.