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États-Unis : l'Amérique reconnaît avoir soumis au sang et à la terreur ceux qui n'acceptent pas ses ordres

par Bernard Tornare 5 Septembre 2020, 15:11

Illustration : Elliott Abrams - Caricature / Wikimedia Commons

Illustration : Elliott Abrams - Caricature / Wikimedia Commons

Du site de Freddy Bernal

 

Elliot Abrams, a déclaré sans ambages devant la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants américaine : "Cette attaque contre le chavisme est simplement une guerre pour notre survie et l'imposition d'une raison qui doit prévaloir sur les autres, car sinon nous admettrons et céderons à la destruction."

 

"Imaginez un instant, Messieurs les représentants, que nous laissions les chavistes gouverner sans leur mettre d'obstacles, sans leur faire la guerre, en leur permettant de réaliser leurs projets sociaux sans tenir compte de nos entreprises et de nos partenaires, alors que nos valeurs sont les leurs depuis près de deux siècles."

 

"Que nous continuons à lui permettre d'avoir toutes sortes de relations étranges avec tout ce monde hostile aux États-Unis. Remplissant son peuple de concepts et d'idées qui sont tous contraires à nos valeurs. Imaginez un instant, Messieurs les représentants, que cela conduise à la débâcle et à la chute de la démocratie dans l'hémisphère occidental, ici même, dans notre propre cour."

 

"C'est la raison principale pour laquelle un tel régime est une menace pour la sécurité nationale de notre pays, et vous devriez le savoir très bien. C'est essentiellement l'objet du combat que nous menons contre ce genre de régimes qui mettraient en danger notre propre destin, la paix dans le monde."

 

"Nous, qui sommes les champions de la démocratie dans le monde, avons toujours prouvé que le socialisme était un échec partout où il a tenté de s'imposer. Et donc, nous ne pouvons pas permettre que dans "Celui qui n'est pas avec nous doit passer par les privations les plus pénibles, les insécurités les plus terribles, les besoins les plus douloureux de tout ce qu'il a si longtemps aimé à nous avoir comme allié, pour le soutien de ses coutumes, habitudes et divertissements les plus précieux", a souligné l'homme politique américain. Le Venezuela est l'exception, alors allons-nous permettre au socialisme de réussir au Venezuela, Messieurs les Représentants ? Pouvez-vous croire ce que cela ferait à l'ensemble de la région latino-américaine ?"

 


"Pouvez-vous imaginer ce que cela signifierait de construire trois millions de maisons, sans la participation de l'entreprise privée ? Quel serait le sort de notre modèle si nous n'intervenons pas dans les projets de santé ou d'éducation ? Dans la formation de leurs militaires et dans l'acquisition des éléments pour leur défense".

 

"Allons-nous alors permettre au socialisme de triompher dans ce pays, un système auquel nous avons déclaré la guerre depuis que nous sommes devenus une démocratie de marché libre de premier plan ?"

 

"Celui qui n'est pas avec nous doit passer par les privations les plus pénibles, les insécurités les plus terribles, les besoins les plus douloureux de tout ce qu'il a si longtemps aimé à nous avoir comme allié, pour le soutien de ses coutumes, habitudes et divertissements les plus précieux", a souligné l'homme politique américain.

 

Traduction Bernard Tornare

 

Source en espagnol

 

Ndt : cet article est un résumé d'un écrit (en 2019) de José Sant Roz 

 

Cette traduction peut être librement reproduite. Merci de respecter son intégrité et d'en mentionner l'auteur, le traducteur et le blog Hugo Chavez.

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